LA MÉMOIRE QUI CHANTE

Journal d’un échanson

(Octobre 2016, 664 pages)

 


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Écrit pour l’essentiel entre
novembre 2009 et janvier 2016,
mais revu et complété jusqu’en juin,
ce « journal » est comme
une chanson qui nous ressemble…
et nous rassemble :
la chanson d’une vie,
incarnée par des dizaines d’artistes
des générations 1950 à 2000
qui ont 
accompagné
(ou accompagnent toujours)
le parcours personnel
et/ou professionnel
de l’auteur.

 

Pourquoi « un échanson » ? Parce que le narrateur se voit tout simplement en chevalier servant de la chanson, flanqué en toutes circonstances de l’exigence absolue du partage et de la transmission ; et parce que cet hymne à l’écriture, à la poésie, à la musique et à la langue, à la chanson vivante d’abord et avant tout, invite à goûter aux plus divins des nectars comme autant de philtres d’amour enchanteurs.

C’est la chanson d’un échanson, au sens où celui-ci a pour vocation d’offrir le nec plus ultra de son expérience, le plus raffiné, le plus délectable dont on puisse gratifier le palais des sens, situé quelque part entre l’âme et le cœur. Si tu aimes la chanson […], a écrit Claude Nougaro, si tu aimes le son, le son de son âme, elle te servira comme un échanson… »

 

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Hida
lgo Éditeur, format 153 x 240 mm, 664 pages, 84 chapitres + avant-propos, prologue, épilogue et annexes, l’ensemble parsemé de correspondances et dessins d’artistes adressés à l’auteur ; de nombreux chanteurs (et professionnels) évoqués dont une cinquantaine en haut de l’affiche (Graeme Allwright, Jordi Barre, Ricet Barrier, Alain Bashung, Guy Béart, Francis Bebey, Jacques Bertin, Georges Brassens, Jacques Brel, Michel Bühler, Francis Cabrel, Cali, Claire, Jean-Claude Darnal, Jacques Debronckart, Richard Desjardins, Yves Duteil, Gilles Elbaz, Leny Escudero, Nilda Fernandez, Jean Ferrat, Léo Ferré, Rémo Gary, Paco Ibañez, Yves Jamait, Victor Jara, Jehan Jonas, Lhasa, Félix Leclerc, Allain Leprest, Claude Léveillée, Hélène Martin, Georges Moustaki, Claude Nougaro, Pierre Rapsat, Marc Robine, Luc Romann, Olivia Ruiz, Mano Solo, Alain Souchon, Anne Sylvestre, Henri Tachan, Hubert-Félix Thiéfaine, Charles Trenet, Jean Vasca, Pierre Vassiliu, Louis Ville, Laurent Voulzy, etc.), auxquels s’ajoutent d’autres personnalités du monde artistique et professionnel (Cabu, Frédéric Dard,  Jean-Louis Foulquier, Roger Gicquel, Bernard Giraudeau…) et le souvenir des poètes (Aragon, Dimey, Éluard, Machado…). (illustration de couverture de Bridenne courant sur le dos et la quatrième de couverture.)

NB. Lire l’article de ce site et sur le blog Si ça vous chante.

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Florilège de commentaires des lecteurs


 

− Je l’attendais avec impatience. Il est arrivé. Quel plaisir de le dévorer. C’est vraiment le livre qu’il nous fallait, nous les amis de toujours. Je me souviens de la visite de Fred à Action-Chanson, à Nanterre, en 1980. J’en suis toujours la présidente, l’association n’ayant jamais été dissoute. Chaque nom évoqué me rappelle une rencontre, une anecdote… C’est un enchantement ! (Ginette Marty)
– […] Témoignage vivant et sensible de ton professionnalisme et de ta passion pour le monde de la chanson, La mémoire qui chante contribue grandement à transmettre la mémoire des hommes et des femmes qui ont fait l’histoire de la chanson francophone. Quelques passages évoquant également la mémoire d’artistes espagnols m’ont beaucoup émue. Je t’en remercie très chaleureusement. […] Apportant à l’actualité littéraire une belle note d’optimisme et de bonne humeur, je ne doute pas, cher Fred, du succès que ce « pavé chansonnier », comme tu le nommes, rencontrera auprès du public. […] (Anne Hidalgo)
− Ce “pavé”, comme tu dis, restera dans les annales de la mémoire collective de la chanson. Cela rappellera Paroles et Musique ainsi que Chorus. Comme je vais être hospitalisé deux mois, j’aurai le temps de le lire en entier… Merci encore Fred. (Daniel Dion)
–  Merci Mauricette et Fred (Fredicette, comme j’ai pu le découvrir dans le livre – cf. Allain Leprest –, eh oui, certains ont du talent tout le temps, même dans une lettre, même dans un dessin…). Merci pour cette somme, ce récit de deux vies au milieu de toutes ces autres. Une façon pour nous, qui n’avons pas côtoyé ces légendes, de les observer un peu, de voir les coulisses de ce qu’ils nous ont offert, à travers un prisme toujours bienveillant, amoureux et respectueux.
Merci pour nous et merci pour eux. (Jean-Jacques Goldman)
− Merci beaucoup pour ce livre magnifique. Merci pour votre opiniâtreté, votre ténacité, cette belle œuvre chanson. (Claire, chanteuse ; voir le n° 27 de Chorus (printemps 1999)
− C’est une goulée de bonheur, un flonflon de France qui nous accueillent avec ce Journal d’un échanson. Inutile de vous dire que j’ai déjà glissé la truffe dans ces mémoires enchanteurs. J’ai picoré au hasard et le hasard étant le complice des gens honnêtes, je suis tombé (entre autres) sur le chapitre « dardien ». Je m’apprête à un festin, moi qui aime tant la chanson. Je vais me régaler de la remémoration de ce que je sais déjà et me goinfrer de tout ce que je vais apprendre sur ce monde magique, et sur vous deux, aussi. Vous m’aviez parlé du Gabon, bien sûr, mais pas de Makaya… Merci, mes amis chers, d’avoir pris le temps d’essorer vos souvenirs et vos connaissances et de nous les offrir sur un fil d’étendage. Ils auront, pour beaucoup, le charme de ces linges qui flottent aux fenêtres de Naples au son de la mandoline. (Patrice Dard)
– Par-dessus tout, j’ai aimé dans ce livre le parcours d’un homme, Fred Hidalgo, l’auteur, dont on mesure les engagements, le regard sur la vie, la chanson devenant ce condensé d’espoir par-delà toutes les adversités. Belle écriture, grande sensibilité , « la liberté dans les yeux », comme chantait Jehan Jonas, dans l’insoumission à la fatalité. Et l’émotion, au fil des pages. (Henri Lafitte) Lire l’article ICI
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− Je termine avec bonheur la lecture de La mémoire qui chante et n’ai pu résister à faire partager cette heureuse découverte autour de moi via la chronique ci-jointe… Merci pour ces moments de partage et cette rage de dire! (Christian Lejosne)
− Très très fier de posséder ce livre d’avoir contribué à sa réalisation. C’est un exploit après La disparition de Paroles et Musique puis de Chorus que vous ayez eu la volonté et le courage de mettre sur papier tous ces souvenirs musicaux et ces belles rencontres. Je n’en suis qu’à la 72e page et j’ai déjà appris plein de choses que je ne connaissais pas sur la chanson francophone… (Éric Gossay)
− Quel beau livre, quel beau cadeau. Merci ! (Michel Bühler)
[…] Malgré tous ces coups durs portés à la chanson, malgré les deuils, certains vécus durant la rédaction de ce livre, comme ceux de Guy Béart, Leprest, Luc Roman, Hervé Cristiani,  Leny Escudero :  Salut et merci pour tout, Leny. Et hasta siempre, frangin ! […] Malgré tous ces départs, Fred Hidalgo nous incite toujours à l’utopie :  L’utopie, c’est ce qu’il reste à réaliser et ce sont les artistes, les poètes, les musiciens, les peintres, qui changent le monde.  On peut aussi partager, tout au long de ce livre, de fabuleuses rencontres autour de la chanson, dans tout l’espace francophone, de l’Afrique au Québec. (Danièle Sala) Lire l’article ici.

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− Un grand bonsoir à “Fred” et à sa “chère et tendre”. C’est très lourd de tenir 600 pages de votre ouvrage dans une main et le reste dans l’autre. Enfin j’y suis arrivé et quelle belle surprise ! Je ne vais pas renouveler ici toutes les fleurs que d’autres lecteurs vous ont déjà adressées avec moult adverbes et adjectifs élogieux. Votre amour de la chanson est une évidence ainsi que l’affection toute particulière que vous portez à Paco Ibañez, Leny Escudero, Alain Souchon… Simplement un merci chaleureux pour la transmission de votre passion. (Jacques Bertrand, un vieux petit Belge, ex-abonné à Chorus).
Un petit regret : Le nom de Maurice fanon n’est mentionné qu’une seule fois, page 580, en compagnie de Jacques Debronckart. Pour moi, ils sont du même tonneau. Vous n’avez tout de même pas oublié : L’écharpe, La petite Juive, Mon fils, chante. Je sais qu’il faut faire des choix, mais…
(voir les précisions de Fred ici.
− Je ne peux que recommander ce livre. Un peu comme la bible mais en bien plus passionnément humain. VIVE la musique et ceux qui sont là pour l’écrire et la chanter ! (Jean-Marie Vanesson)
− Merci pour ce gros livre-édredon qui va me réchauffer l’hiver qui arrive… (Mireille)
− Ben mon frangin, sacré pavé (dans la mare ?) J’ai déjà fait la face nord, j’attaque la face sud. Quel beau parcours, quelle générosité, quelle fraternité! La chanson te doit beaucoup, on le savait, mais là c’est du flagrant délit. (Jean Vasca)
− Voilà : votre superbe trésor La mémoire qui chante est bien arrivé chez moi à Montréal sans encombre il y a environ une semaine, juste à temps pour mon anniversaire. Magnifique cadeau ! Depuis, je le parcours en vrac, en long et en large, de la fin au début et “lycée d’Versailles”, avec une intense émotion, et le seul regret que sa diffusion doive s’arrêter au 800e exemplaire ! “Ç’est pas vrai, ça s’peut juss’ pâs, c’est pas Dieu possible” que le grand public n’y ait pas accès… (Francine Brunel-Reeves)
− Cette publication est un formidable encouragement à continuer à narrer les méandres des parcours artistiques des chanteurs d’expression française… à préserver et promouvoir. Merci (Alain Vanhal, dessin ci-dessous)

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− Merci, je n’ai pas de mots pour dire le plaisir formidable que m’apporte chaque ligne, chaque page de ce livre monument. Nous allons de découvertes en plaisirs, nous entrons dans l’histoire intime de la chanson française et francophone. Pour ma part, j’ai décidé de “prendre le temps” pour la lecture et apprécier le délice de cet ouvrage.
Recevez mes remerciements sincères à jamais. Une autre joie aussi… C’est l’envie et l’intérêt que procure ce bel ouvrage auprès de mes proches. C’est pourquoi, je souhaiterais vous passer commande d’un autre volume, en plus des deux précédents, de La mémoire qui chante. (Jean-Michel Bourumeau)
− Je pense ne vous avoir jamais signalé La mémoire qui chante. Ce monument, qui se lit au gré de ses envies d’en savoir plus sur tel ou tel chanteur, est depuis deux ans sur mon bureau et je compulse régulièrement ce fort volume de 664 pages. […] J’ai renoncé à compter le nombre de fois où Brassens est cité dans cette « encyclopédie » où le genre que nous aimons tous, la chanson de qualité, est servi par la plume de Fred Hidalgo. (Pierre Schuller) Lire l’article en cliquant sur l’image ci-dessous.

Aupres de son arbre

− Merci pour cette somme sur laquelle on ne s’endort pas. J’ai entamé un vol long-courrier avec Jacques Brel et L’aventure qui commence à l’aurore, un délice d’émotions, de voyage et de mots. Merci. (Yannick Racapé)
− Cher Fred, bravo pour votre ténacité et plus encore pour le manque que vous allez combler avec cet ouvrage. Ce qui m’étonne le plus c’est d’être passé complètement à côté, n’ayant rien vu passer cet été, alors qu’il me semble recevoir régulièrement votre “lettre d’information” (hé oui ! je fais de la résistance aux anglicismes, comme mes cousins et voisins Québécois). On ne peut pas faire la route en marche arrière et “souscrire” à quelque chose qui est clos et réalisé. Je vais donc me hâter de sauter dans le train pour tenter d’acquérir le précieux ouvrage. Pour la petite histoire, il n’a pas pu vous échapper, je pense, que la première chanson de Guy Béart que vous citez (Le trou dans le seau) est une transposition, quasiment mot pour mot, au prénom près du mari (Jacques au lieu de Willy), d’une vieille chanson du folk-song américain, reprise par Pete Seeger : Hole in the bucket. (Henry Tilly)
– Attention, une somme ! Fred Hidalgo, oui celui du livre sur Goldman, sort deux livres cette saison.  […] La chronique d’un amoureux transi de la chanson, intarissable roi des digressions mais mémoire vivante d’un genre qu’il suit avec précision depuis 40 ans. Chaque chapitre lié à l’actualité d’une découverte ou de retrouvailles avec des « grands » est prétexte à de mini-essais sur la chanson, son histoire, l’histoire d’Hidalgo avec la chanson. On revit ses aventures éditoriales, on partage (ou pas !) ses coups de cœur pour des p’tits nouveaux, on l’envie d’avoir croisé autant de grands noms, de grandes œuvres, sans grandes pompes. Juste la passion d’un suiveur attentif et scrupuleux, gardien du temple humble et convaincant. (Yannick Delneste) Lire l’article ICI

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− Tous ceux à qui j’ai offert La mémoire qui chante m’en font ces jours-ci compliments. Ce livre était une nécessité vitale pour tous ceux qui aiment la chanson signifiante. Et voilà que j’apprends que Fred a eu encore la plume alerte pour Goldman. La chanson, toute la chanson, te devra une FIÈRE chandelle. Et dans ce “te”, j’inclus naturellement Mauricette. (Bernard Keryhuel)
− Fred impossible de lire 24h sur 24 alors il va falloir du temps pour tout déguster ! Car un livre pareil ça se déguste, ça se lit, ça se relit, ça embellit la journée et c’est une telle somme d’informations que j’y vais à tout petits pas ! Mais merci, merci, car ce que j’en ai déjà lu… me envie de lire encore et encore ! Bien amicalement. (Marlène)
− Une belle histoire faite de mille histoires de chansons servies par un échanson qui connaît tous les meilleurs crus. C’est un régal pour les amoureux de ces chansons qui marient la musique et la poésie, souvenirs, découvertes, une histoire qui se déguste lentement, en s’arrêtant sur telle ou telle chanson qu’on a envie de réentendre, ou de découvrir. Ce livre est un vrai bonheur ! Et c’est aussi une histoire de fidélité de tous les souscripteurs. (Danièle Sala)
− Moi je suis heureux de posséder ce livre… pour sa qualité d’écriture et le rappel de la mémoire chansonnière… En plus c’est un livre d’une grande valeur historique et géographique… bref… un excellent ouvrage de chevet… Bravo et merci à toi fidèle ami Fred. (Yves Borredon)
– Du soleil couchant au petit matin frileux, je fus accompagné par le souffle furieux de tes (nos) ombres divines, mais aussi par les voix et les rêves de tes (nos) vivants. C’est parfois une chance d’être un veilleur de feux. Merci infiniment Fred pour « la mémoire » de cette terre sonore… (Christophe Trégret) 
– […] Ton livre m’a fait du bien et m’a replongé, et me replonge, dans une humaine mélodie. Et c’est une chanson qui nous ressemble, qui nous rassemble, qui nous unit par-delà les pièges à pognon. (Jean-Paul Brun)

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